Ma dernière exposition qui a eu lieu les 1er, 2 et 3 juin 2019 « l’Odeur de la Couleur »
https://www.lanouvellerepublique.fr/blois/l-odeur-de-la-couleur-au-feminin-et-au-jardin
Exposition espace Blais’Art – du 1er au 21 décembre 2017
Exposition au Restaurant « Le Monarque »
Article paru dans « La Nouvelle République » le 11 juillet 2017 L’hôtel le Monarque accueille actuellement les photographies de Christine Lambert. La photographe « autodidacte » telle qu’elle se définit revisite par sa technique les châteaux de la Loire, les monuments et des quartiers de Blois. Ses clichés attestent d’une volonté de se départir des prises de vues « brutes et habituelles » comme le plus souvent elles sont données à voir. Ses images , loin des photos académiques, se distinguent par un caractère onirique propice à l’imaginaire. « C’est le besoin de rêver et de faire rêver » qui l’a fait recourir à un logiciel de retouches pour nimber ses sujets de couleurs subtiles évoquant les touches délicates de l’ aquarelle . Par la mise en valeur des ciels ou du fleuve ligériens grâce à ce procédé technique elle donne au patrimoine local du Val de Loire un caractère irréel et magique. Lien vers l’article original
Exposition au Restaurant « Le Monarque »
Article paru dans « La Nouvelle République » le 03 juin 2017 L’hôtel le Monarque accueille actuellement les photographies de Christine Lambert.
La photographe « autodidacte » telle qu’elle se définit revisite par sa technique les châteaux de la Loire, les monuments et des quartiers de Blois.
Ses clichés attestent d’une volonté de se départir des prises de vues « brutes et habituelles » comme le plus souvent elles sont données à voir. Ses images, loin des photos académiques, se distinguent par un caractère onirique propice à l’imaginaire. « C’est le besoin de rêver et de faire rêver » qui l’a fait recourir à un logiciel de retouches pour nimber ses sujets de couleurs subtiles évoquant les touches délicates de l’aquarelle.
Par la mise en valeur des ciels ou du fleuve ligériens grâce à ce procédé technique elle donne au patrimoine local du Val de Loire un caractère irréel et magique.
Exposition Vineuil
Article paru dans « La Nouvelle République » le 05/10/2014 Christine Hanot pratique depuis huit ans la photographie en autodidacte. « Tout a commencé lors de vacances, avec un petit compact, raconte-t-elle. J’ai étonné mon entourage et découvert que j’avais un bon « coup d’œil « . J’ai fini par m’équiper d’un reflex numérique et d’un objectif macro professionnel afin d’assouvir ma passion pour la photo d’insecte. C’est un monde fascinant qui s’est révélé à travers l’objectif de mon appareil. De petits êtres de quelques millimètres, auxquels on ne prête pas attention, et qui pourtant revêtent des formes et des couleurs extraordinaires. J’avais envie de partager cela. Sous le nom d’Itsara, je commence à exposer et à vendre mes clichés ». Araignée salticide aux incroyables yeux bleu azur, libellule en fragile équilibre sur un brin d’herbe ou encore punaise aux couleurs éclatantes, Christine Hanot commente ses magnifiques instantanés. « J’avoue que je ne me sens pas photographe. J’improvise… le lieu, la composition. Cela est immédiat car les insectes ne posent pas. Il faut saisir l’instant magique lorsqu’il se produit. Je parcours les prairies, les bords d’étangs centimètre par centimètre pour ne rien rater ou reste parfois à plat ventre dans l’herbe à attendre… » Des projets ? « Beaucoup ! s’exclame-t-elle, et en premier lieu, l’envie de faire un livre. Pas un livre d’entomologie, mais un livre de belles photos qui serait comme un défilé de mode naturel et intemporel… ». Le titre en sera juste « Parures ». « Quand je fais des photos, c’est grisant, conclut-elle, plus rien d’autre n’existe ». C’est sans doute ce qui lui a inspiré son pseudonyme, « Itsara » en langue thaï veut simplement dire « libre ». Lien vers l’article original
Exposition Bauzy-2015
